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Pédagogie

La sophrologie pour développer ses ressources, renforcer son potentiel, croire en soi.

 

Une méthode pour réussir

La sophrologie permet de retrouver son énergie créatriceCréativité : la pulsion de vie est trop souvent mise à mal chez de nombreuses personnes qui sont ainsi coupées d’une partie de leurs potentiels. La sophrologie permet de retrouver son énergie créatrice, elle favorise le sens artistique du musicien, de l’acteur, du peintre, du danseur, du sculpteur… Elle permet de mieux lutter contre le trac, d’apprendre les textes plus facilement…

Sport : la sophrologie permet de développer une meilleure connaissance de soi (physique et mentale), de mieux gérer son stress, d’améliorer sa confiance en soi, ses capacités de récupération, de renforcer les valeurs que chacun met dans le sport, de déterminer des objectifs, de mettre en place des stratégies efficaces, de renforcer ses motivations.

Apprentissage : tous les apprentissages, quels que soient les domaines, sont facilités par la pratique de la sophrologie.

Préparation aux examens : la sophrologie aide l’étudiant à canaliser son stress, améliore sa concentration et sa mémoire, augmente sa confiance en lui. Elle lutte contre la conduite d’échec pour que chacun donne le maximum de lui-même, sans être entravé par son histoire, par des schémas négatifs répétitifs.

La créativité est la capacité pour un sujet de manifester au monde, aux autres et à lui-même quelque chose qui n’existerait pas en son absence.
En créant, l’individu impose une façon de voir le monde par le prisme de son monde interne.
Il s’agit d’une pulsion existant en chacun de nous et dont la source serait la curiosité.
Le processus de création trouve son origine dans l’inconscient du sujet.
L’oeuvre procède donc de l’intervention d’un événement du passé qui cherche à se dévoiler à la faveur d’un événement actuel qui en permet l’élaboration. Elle est organisée à partir du « trou, du vide central, primordial ». C’est sur ce vide que le créateur s’appuie pour lui donner forme.
Échappant momentanément à la censure que l’inconscient impose, un signifiant nouveau surgit alors et franchit la barrière du refoulement.
On note aussi une continuité, logique et chronologique, entre le jeu de l’enfant et la production de l’adulte.
D. Winnicott relève que le jeu est le lieu de l’expérience de la réalité, l’espace où se déroulent les contacts, la sphère de transition entre l’intérieur et l’extérieur du sujet.
Il permet au sujet – enfant ou adulte –  de se montrer créatif : c’est seulement en étant créatif que l’individu découvre le soi.
La création est l’action de réaliser, d’engendrer quelque chose de nouveau, qui n’existait pas avant. Cependant, c’est avant tout la production d’un être, la manifestation de son inconscient, un processus identitaire.
Il s’agit de rendre visible l’invisible, dicible l’indicible.